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Mon approche : l’alimentation intuitive

Pourquoi ? Comment ?

C’est maintenant bien connu : avec les régimes, on perd du poids, mais après on reprend. On alterne des périodes de restriction (qu’on appelle des régimes ou autre chose) et des périodes de pertes de contrôle.

L’alimentation intuitive n’est ni de la restriction ni une perte de contrôle mais un contrôle par le corps, un peu comme on le voit chez les enfants ou chez les personnes qui n’ont jamais fait de régime. Or, pour sortir de la logique des régimes et toute leur logique si connue et quelque part rassurante, il s’agit de faire le point sur ce qu’on quitte et ce qu’on rejoint.

Si ça vous avez envie d’en savoir plus, voici un peu de lecture :

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Donuts cadenassés

Qu’est-ce qu’un régime ?

 

Depuis quelques années, le mot régimes est de moins en moins utilisé. La logique des régimes, elle, continue, mais on l’appelle autrement. En insistant souvent pour dire que « ce n’est pas un régime » on propose par exemple un  « rééquilibrage », des « conseils nutritionnels », une « hygiène de vie », un « plan alimentaire » ou « alimentation santé » (sous entendu, le plus souvent, que manger sainement génèrerait automatiquement la minceur).

Quand on se lance sans consulter, on parle plus volontiers de « reprise en main », de décision de « faire attention » ou encore d’autre chose. Malgré les apparences, toutes ces stratégies ont en commun ce qui caractérise les régimes à savoir la lutte contre ses envies pour respecter des règles diététiques dans l’objectif de maigrir. Malheureusement, elles ont aussi les effets négatifs des régimes.

 

Au fil d’un régime, il devient de plus en plus dur à respecter

Si on arrive parfois à respecter ces principes quand on a décidé de s’y mettre et qu’on arrive à perdre des kilos, ce qui fait très plaisir, cette façon de manger demande une grande part de notre attention et de notre énergie. Il devient difficile de manger en toute détente des aliments qu’on aime, seul.e ou avec des personnes avec qui on envie de partager de bons repas ou juste des repas de tous les jours. Soit on mange autre chose que les autres, soit on impose des aliments aux autres qui ne leur plaisent pas. Parfois, avec la frustration et la faim ou la culpabilité d’avoir craqué, on s’agace plus facilement que d’habitude. Les relations avec l’entourage proche et moins proche peuvent devenir tendues.

On finit par ne plus y arriver

Et puis il y a, bien sûr, le moment où on n’y arrive plus… Comme après avoir retenu son souffle le plus longtemps possible, la volonté ne suffit plus à endiguer les envies de manger. Elles s’imposent avec une force irrésistible. On se reproche alors fortement de manquer de volonté. Cette culpabilité de ne pas tenir est d’autant plus forte qu’on nous a fait croire qu’il ne s’agissait pas d’un régime et qu’on devait donc normalement être capable de ne jamais arrêter de suivre ces consignes. Mais est-ce vraiment une question de volonté ?

La reprise des kilos perdus n’est pas une question de volonté !

Si le mot régime est de moins en moins utilisé, même dans les cas où il en est très clairement question, c’est probablement que ça commence enfin à se savoir que, si les régimes apportent en effet le grand plaisir de perdre du poids dans un premier temps, on n’a quasiment aucune chance de ne pas tout reprendre assez rapidement – même si on utilise un autre mot que régime. En effet, depuis 1959, les nombreuses études sur les régimes sont formelles : si une majorité des personnes qui surveillent leur alimentation pour perdre du poids maigrissent effectivement dans un premier temps, la reprise d’au moins le poids perdu est la règle pour environ 95 % après 2 – 3 ans.

Cela concerne tous les régimes, équilibrés ou non, stricts ou non, qu’on les appelle ainsi ou pas. La seule différence entre les régimes très restrictifs et les autres, c’est qu’on arrive souvent à suivre les régimes les moins stricts un peu plus longtemps, mais les kilos reviennent quand même.

Poids en yoyo

Prendre plus que le poids perdu est très courant

De plus, environ une personne sur deux prend plus qu’elle n’a perdu après un régime. Plus on fait de régimes et plus on risque de voir son poids augmenter. Tous ces efforts, toute cette volonté dépensée pour se retrouver avec encore plus de kilos après !

Avoir de la volonté

Perdre du poids avec un régime demande énormément de volonté

Quiconque a suivi un régime ou des règles diététiques (ou juste essayé) sait combien cela demande de faire appel à la volonté instant après instant pour ne pas craquer, jusqu’à ce que toute la volonté du monde ne suffise plus à endiguer la force qui pousse à manger quand même. C’est paradoxal que les personnes qui ont perdu et repris s’accusent justement de manquer de volonté (parfois leur entourage l’imagine aussi, ce qui est très pénible à vivre). Or si un tel pourcentage d’échec se trouve dans un grand nombre d’études concernant des dizaines de milliers de personnes depuis tant d’années, c’est que c’est la logique même des régimes qui est en cause et non les personnes qui les suivent ! Si la volonté suffit pour ne pas manger à un moment donné, elle le suffit pas à se priver à long terme. Un peu comme la respiration et le sommeil. Une privation qui est possible à court terme ne l’est pas forcément dans la durée.

Sortir de la logique des régimes : besoin d’un petit coup de main

Vous l’aurez compris : Mon approche ne consiste pas à donner des conseils diététiques d’équilibre alimentaire, ni à donner des quantités à respecter ni des listes d’aliments ou des heures de prise alimentaire choisies ou à éviter.

Cependant, sortir de la logique de restriction et de contrôle mental avec sa logique de « bons » et de ‘mauvais » aliments est moins facile qu’il n’y paraît. Après des années dans la logique des régimes, on a souvent du mal à abandonner les règles alimentaires, les inquiétudes devant certains aliments, les réflexes de manger beaucoup quand on en a enfin l’occasion dans le cas de certains aliments qu’on s’interdit. Le plus souvent, il ne suffit pas de décider d’arrêter les régimes pour arrêter de culpabiliser et de fonctionner en tout ou rien avec certains aliments. Il y a besoin d’un petit coup de main, à la fois à propos de ces réflexes mais aussi pour comprendre plus largement les tenants et aboutissants de ce qui maintient ces difficultés afin de pouvoir avancer. C’est ce que je peux vous proposer.

Comprendre pour avancer

Alimentation intuitive

D’où vient le terme d’alimentation intuitive ?

L’expression « alimentation intuitive » sonne peut-être un peu comme une nouveauté. En réalité, il s’agit d’un concept maintenant un peu ancien. La première fois que le terme a été utilisé était en 1982 dans un livre américain (Bob Schwartz : Diets Don’t Work) qui dénonçait au grand public les effets néfastes prouvés des régimes. En effet, 23 ans après les premières études en 1959 qui avaient mis en évidence les reprises de poids quasi-systématiques et l’augmentation très fréquente du poids et des troubles du comportement alimentaire après les régimes, les études qui confirmaient ces effets étaient alors déjà nombreuses. De plus en plus de chercheurs et cliniciens dénonçaient ces approches et cherchaient d’autres façons d’aider les personnes en difficulté avec leur poids et leur comportement alimentaire.

LIvres et études alimentation intuitive

Livres, études et prise de conscience autour des dangers des régimes dans les années 1980 et 1990

La conscience des effets négatifs des régimes augmentait au fil des années 1980 et 1990 avec plusieurs livres grand public écrits d’auteurs américains, notamment des psychologues, psychothérapeutes et nutritionnistes qui les dénonçaient et préconisaient que chacun écoute son propre corps plutôt que la tête des autres. Le mot alimentation intuitive n’était pas toujours prononcé mais l’idée était la même. Certains, dont ceux de Geneen Roth ont été traduit en français. Petit à petit les observations des difficultés observées par le cliniciens et les nombreuses études scientifiques ont fait changer le regard du monde scientifique sur les régimes. On s’intéressait de plus en plus à des alternatives à ces conseils aggravants.

De nombreuses preuves de l’intérêt de l’écoute du corps pour manger

Le terme « alimentation intuitive » devient plus connu par le grand public en 1995 lors de la publication au Etats Unis par deux nutrithérapeutes, Elyse Resch et Evelyn Tribole du livre du même nom. Alors que l’alimentation intuitive désignait jusque là d’une logique générale d’écoute du corps, elles en ont fait une approche plus structurée.  D’autres livres ont également été publiés sur le même thème par au Canada et en France dans les années 1990 sur le même sujet utilisant souvent d’autres termes.

Groupe de Réflexion sur l'Obésité et le SurpoidsL’alimentation intuitive en France, la place du G.R.O.S.

En France, forts de ces observations et soucieux de créer une vraie alternative scientifiquement fondée , Gérard Apfeldorfer, Jean-Philippe Zermati et Bernard Waysfeld fondent en 1998 avec d’autres professionnels de santé le Groupe de Réflexion sur l’Obésité et le Surpoids (le GROS) dont l’objectif est le même : Combattre la culture des régimes et aider les patients à trouver d’autres stratégies plus efficaces et respectueuses de la santé. L’objectif des praticiens du GROS est d’aider leurs patients à acquérir une alimentation adaptée aux besoins physiques, émotionnels et sociaux afin d’atteindre et garder le poids le plus bas possible eu égard aux régulations physiologiques.

L’objectif de cette association est non seulement d’aider les personnes en difficulté avec leur poids et leur comportement alimentaire mais de s’assurer que les travaux scientifiques valident les principes de cette approche. La force du GROS est la pluridisciplinarité, les échanges et les mises en commun des observations et découvertes pour améliorer sans cesse l’efficacité de l’approche,  ainsi que l’écoute de nombreux professionnels lors des congrès annuels de l’association sur le comportement alimentaire, le poids et les façons d’aider les patients. Formée en 2003 dans la formation organisée par le GROS je travaille depuis cette année-là selon ces principes. En 2003, on n’utilisait pas encore le terme d’alimentation intuitive en France, mais plutôt « l’approche du GROS » ou « l’alimentation bio-psycho-sensorielle », mais c’est rigoureusement la même logique.

Manger de tout

S’appuyer sur les compétences du corps humain

L’alimentation intuitive est maintenant un terme consacré pour parler du fait de se nourrir en respectant ses sensations et ses envies, témoins de la régulation du corps. Malgré le discours ambiant qui prône encore majoritairement la restriction et le contrôle mental, de nombreuses études montrent que les personnes qui mangent selon leurs envies et sensations ont un poids plus bas que ceux qui se nourrissent dans une logique de contrôle mental.

En effet, les compétences du corps à nous guider vers les aliments dont nous avons besoin ont été la référence pour les humains depuis la nuit des temps avec grand succès. Omnivores, nos besoins sont plus complexes car nous avons besoin de manger une grande variété d’aliments, mais nous ne sommes pas moins bien équipés que les autres espèces animales herbivores, carnivores ou omnivores pour savoir de quoi nous avons besoin et de combien. Nos différentes régulations des apports alimentaires nous guident parfaitement tout comme nos régulations de l’hydratation ou de la température le font.

 

Bébé boit juste assez

L’alimentation intuitive, on savait tous faire à la naissance

A la naissance, nous avons tous cette capacité à distinguer entre besoin et absence de besoin, mais on peut la perdre pour différentes raisons. Parmi les phénomènes qui nous éloignent des signaux de notre organisme, il y a bien sûr les régimes et les règles diététiques en tout genre. Il y a aussi, par exemple, les conseils de manger quand c’est l’heure même si on n’a pas faim, de toujours finir son assiette, même si on sent que moins suffit, de manger des aliments qui ne font pas du tout envie qui nous habituent à ne plus ressentir nos besoins afin d’obéir à ces règles. Les émotions, notamment par rapport à l’insatisfaction corporelle, mais pas seulement, ainsi que les événements de la vie, qu’il s’agisse de traumas ou pas, peuvent également rendre l’écoute de notre corps difficile et pénible. Enfin, le rythme de vie avec peu de temps pour se poser pour les repas et l’omniprésence des écrans ou d’autres sources de distraction rendent l’écoute du corps plus difficile en mangeant.

Manger sans attention

Les nombreuses preuves de la supériorité de l’alimentation intuitive sur le poids et la santé.

Les études qui mettent en évidence une meilleure santé chez les personnes qui respectent leur envies et leurs appétits sont maintenant nombreuses en France, ailleurs en Europe et en Amérique. Dans l’étude Nutrinet en France en 2017, les auteurs concluent  : « La restriction alimentaire est davantage associée à la prise de poids que les choix alimentaires, l’activité physique ou l’âge »

preuves scientifiques

Retrouver les signaux de l’organisme pour nous guider.

Si on a perdu la capacité de sentir de quoi et de combien on a besoin ou que, malgré la conscience que c’est trop, on n’arrive plus à s’arrêter sur certains aliments, il y a besoin de remettre en place le contrôle physiologique des prises alimentaires.

Contrairement aux régimes, plus on avance dans l’alimentation intuitive et plus c’est facile et naturel de manger la quantité juste, sans avoir envie de continuer. Souvent, au départ, les personnes se disent qu’elles n’arriveront jamais à pouvoir s’arrêter sur le chocolat ou le fromage et sont étonnées de voir que petit à petit (et souvent assez rapidement), en surmontant les différents obstacles, ça devient tout naturel et plus facile d’arrêter que de continuer et trop manger. On augmente alors le plus possible la possibilité de perdre du poids car globalement, on mange généralement moins qu’avec les craquages et, le stress alimentaire et le stress global diminuent, ce qui diminue la fréquence des envies de manger émotionnelles et les quantités mangées.

Connecter corps et esprit

Faire le bilan du passé et changer de stratégie

L’objectif du suivi est une alimentation sereine et source de plaisir, dans des proportions adaptées aux besoins du moment.

Plutôt que de dire combien manger de quel aliment, j’aurai à cœur de vous rendre autonome pour vous permettre de repérer dans chaque situation, devant chaque aliment, la quantité qu’il vous en faut, en vous basant sur vos sensations alimentaires mais aussi sur vos choix à chaque instant par rapport à vos autres objectifs : manger avec les personnes que vous aimez, répondre à vos émotions, manger des aliments qui ont du sens….

A chaque nouvelle rencontre, je m’intéresse de façon bienveillante et sans jugement au début des difficultés alimentaires et pondérales et à ce qui a été tenté depuis ce temps. Je relève ce qui a pu avoir des effets sur le poids en dehors de l’alimentation. Il y a beaucoup de phénomènes qui jouent. La prise de poids initiale et son augmentation au fil des années ont beaucoup de causes qui sont de plus en plus connues et qui sont tellement loin de la volonté de chacun.

Dans le cas de troubles du comportement alimentaire, l’entretien portera également sur le début des troubles et sur ce qui empêche d’en sortir. Pour avancer, c’est important de se pencher sur ce qui s’est passé, ce qu’on a déjà essayé, ce qui a été facile et ce qui a été difficile voire impossible et comprendre pourquoi il en était ainsi.

Ces observations et ces compréhensions permettent de se lancer dans une stratégie différente puis d’avancer pas à pas à son rythme et à sa façon Pour beaucoup de personnes qui viennent me consulter, ces échanges sont la première occasion de retracer et comprendre ces éléments de l’histoire du poids et de l’histoire tout court qui ont impacté la façon de manger et continuent parfois de le faire. Cette vision globale et la compréhension des tenants et aboutissants est nécessaire pour se mettre à choisir de se respecter et se traiter avec bienveillance jour après jour à table et ailleurs.

Savoir repérer et respecter vos besoins en travaillant sur les phénomènes qui s’opposent à cette écoute permet de s’arrêter sans difficulté après des quantités adaptées, comme les personnes qui n’ont jamais fait de régime et qui ne se posent pas de question. C’est là l’essentiel du travail que je propose. Les façons d’y arriver et le temps qu’il faut pour ce travail sont variables d’une personne à l’autre car chacun a des défis différents.

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Ce que vous pouvez attendre de cet accompagnement

Une écoute attentive, bienveillante et sans jugement de votre histoire et de vos difficultés avec le poids et les aliments.

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Une absence de balance dans mon cabinet. Si vous voulez vous peser chez vous, pas de souci. Sinon, pas de souci non plus.

Un accompagnement expérimenté pour bien entendre les points importants, comprendre les causes des difficultés et repérer les cercles vicieux dans votre histoire et votre comportement actuel.

Une compréhension de ce qui vous maintient dans des habitudes alimentaires inadaptées (et qui n’est PAS un manque de volonté…).

Un éclairage sur ce qui vous empêchait de vous arrêter sur certains aliments (là non plus, pas un manque de volonté…)

La découverte des compétences de votre corps à bien vous guider.

Un changement de votre relation avec les aliments pour vous permettre de manger avec plaisir, sans culpabilité et en quantité juste, sans effort.

Un cheminement pour adopter un regard respectueux et bienveillant sur vous-même en arrêtant de vous imputer les échecs des régimes du passé.

Une place adaptée et apaisante de l’alimentation pour respecter vos émotions et vos besoins émotionnels alimentaires.

La redécouverte du plaisir de manger et la capacité à vous manger des quantités adaptées avec satisfaction et sans effort.

Une compréhension des mécanismes qui font prendre du poids, ce qui protège d’une prise de poids et ce qui fait perdre du poids.

L’atteinte de votre poids d’équilibre sans régime.

Des réponses aux questions sur l’alimentation que vous vous posez.

Des expériences et observations à faire entre les consultations pour vous aider à progresser (si cela vous convient, sinon, on avance sans cet outil).

Un soutien personnel et toujours bienveillant dans tout votre parcours.

Un respect absolu de votre rythme de progression : les hésitations, le temps disponible ou pas, les freins qui vous empêchent d’avancer…

Des échanges qui dépassent parfois le domaine strictement alimentaire pour aborder les aspects qui influencent votre façon de manger : Formée à ces approches, j’utilise des outils issus des thérapies cognitives et comportementales, notamment de l’ACT pour aborder, par exemple, au besoin, certains des thèmes suivants  :

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Des automatismes de pensées qui font souffrir et/ou qui vous empêchent d’agir en phase avec vos objectifs d’écoute de vous

Les émotions

Les valeurs et les objectifs de vie : une source de motivation et de forces importante

L’image de soi et les peurs des regards des autres

Les façons de faire face à la stigmatisation, la grossophobie et aux injonctions de manger de telle ou telle façon

Éventuellement, l’utilité pour vous, dans certains cas, de compléter, si vous le souhaitez, notre équipe à deux par un.e psychologue et/ou une.e psychiatre de confiance ou d’autres spécialistes pour aborder des points sur lesquels, je n’aurais pas les moyens de vous aider seule.

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Voici quelques  avis  de  patientes  émis  sur  mes  comptes  Google  et  Pages  Jaunes :

Logo Pages Jaunes

« Je conseille fortement cette praticienne. C’est une personne d’une impressionnante bienveillance et très à l’écoute. Mme Menneteau aborde les choses sous un autre angle de vue et ces séances m’ont apporté une aide considérable. Il se ressent qu’elle est spécialisée sur les TCA, elle se focalise sur l’explication et la compréhension pour avancer sereinement. »

« Une écoute et des échanges profondément bienveillants ainsi qu’une prise en charge globale dans le respect de la personne, sans jugement, sans restriction alimentaire et sans balance, ce qui donne des répercussions non seulement sur le poids mais aussi sur les émotions et leur gestion au quotidien, le tout dans un cadre très agréable. »

« Avant d’entamer mon suivi avec Madame Menneteau, je me voyais vraiment d’un très sale œil. Rongée par la culpabilité et la honte, j’en étais arrivée à éviter toute situation sociale et à me replier beaucoup sur moi-même. Un an plus tard, après plusieurs entretiens dans le respect de mon rythme à moi, je me sens beaucoup plus légère de tout point de vue. Au-delà des kilos que je ne porte plus, mon corps n’est plus l’objet malmené et détesté d’avant. Aujourd’hui, grâce à notre travail, j’éprouve du plaisir à prendre soin de moi et de mon corps et j’ai enfin fait la paix avec moi-même. Pour cela et bien plus, je lui dis merci du fond du cœur.« 

« Diététicienne conseillée par mon médecin. justement pour cette approche très atypique de la relation avec la nourriture mais très efficace. En suivant ses conseils de bon sens, je suis ressortie avec plein de petits plaisirs et des kilos en moins (et surtout, aucun complément ni autre produit à acheter) Ne pas hésiter à consulter cette personne qui, dès la 1ere consultation, vous enlève toute culpabilité et vous donne beaucoup d’espoir.« 

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